000 00775nam a2200145Ia 4500
999 _c4612
_d4612
020 _a2-87009-188-5
040 _aBC-EPAU
041 1 0 _afre
100 _aHAMBURGER, Bernard, THIEBAUT, Alain
_935
245 1 0 _aORNEMENT ARCHITECTURE ET INDUSTRIE.
260 1 0 _b P .Mardaga
_aBruxelles
_c1983
300 1 0 _a109 p.
_bCouv.ill en coul, Ill. noir et blanc, Photo.,Plan.
_c23 cm.
942 1 0 _c01
_t0804
_u8.2
_v5072
994 _a08040010
500 _aindex.
520 1 0 _aDans "maison en série" le Corbusier décrit l'homme qui construit sa maison "c'est l'heure ou tout homme fait au moins un poème dans sa vie .alors nous avons, depuis quarante ans, dans les villes et périphéries, non pas des maisons mais des poèmes; le poème de l'été de la saint-martin, car une maison est le couronnement d'une carrière...Ce moment précis ou' l'on est assez vieux et décati par l'existence pour être la proie rhumatismes et de la mort... et des idées loufoques". c'est de ces "idées loufoques"que nous parlent les catalogues industriels. il est vrai qu'ils permettent à chacun de mettre une salamandre enroulée auteur de sa gouttière, de peuple son toit, de choisir un style ou même récupérer des fragments d'histoire de l'architecture savante,mais sans bien sur"affronter le problème de la perfection". Ces poèmes méprisés, ce jeu avec les image et les symboles, mené souvent de façon complice entre l'architecte et l'habitant, était peut-être un début de réponse à l'architecture comme art populaire. tous en comprenaient le langage, même si tous n'y avaient pas directement accès. aujourd'hui ou' la communication et les significations de l'architecture reviennent au premier plan, un nouvelle réflexion sur la production industrielles s'impose et un vocabulaire est peut-être à réinventer.
653 _a Décoration ,Décoration architectural