000 | 01831nam a22002177a 4500 | ||
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999 |
_c35760 _d35760 |
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020 | _a 9782863646892 | ||
040 | _aBC-EPAU | ||
041 | _afre | ||
100 | _a Gregotti, Vittorio | ||
245 | _a Le territoire de l'architecture | ||
260 |
_aMarseille _bÉditions Parenthèses _c2023 |
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300 |
_a189 p. _bCouv.ill.ill. _c24 |
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700 |
_aHugo, Vittorio _eTrad. |
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942 |
_c01 _t0804 _u8.2 |
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994 | _a08040408 | ||
490 | _aCollection Eupalinos. Série Architecture et urbanisme | ||
520 | _a Publié pour la première fois en Italie en 1965, cet ouvrage est un des classiques de la littérature architecturale du xxe siècle. Vittorio Gregotti est alors un architecte très actif et une figure de la scène intellectuelle internationale. Dans ce véritable manifeste, il développe les thèmes fondamentaux de ses préoccupations théoriques et de sa démarche professionnelle — le rapport entre géographie et architecture et la défense d’une approche globale du fait urbain —, ainsi qu’une réflexion sur le devenir du métier d’architecte au-delà de toute utopie et de toute capitulation « pour un professionnalisme servile ». Umberto Eco, dans sa préface, resitue ce livre dans le contexte spécifique du débat culturel italien d’alors, qui s’articule autour des deux axes du « rêve léonardien de l’architecte des années cinquante » et de « l’atmosphère interdisciplinaire et critique de la nouvelle avant-garde ». « Si la géographie est la manière dont les signes de l’histoire se solidifient et se superposent en une forme, le rôle du projet d’architecture est de mettre au jour, à travers la transformation de la forme, l’essence du contexte environnant. » | ||
653 | _a Théorie de l'architecture | ||
653 | _aÉcrit d'architecte | ||
653 | _a Théorie de l'urbanisme |