000 | 02029nam a22002657a 4500 | ||
---|---|---|---|
999 |
_c35697 _d35697 |
||
040 | _aBC-EPAU | ||
041 | _afre | ||
100 | _aFaburel, Guillaume | ||
245 |
_aIndécence urbaine _bPour un nouveau pacte avec le vivant _n1 vol. |
||
260 |
_aParis _bFlammarion _c2023 |
||
300 |
_a323 p. _bcouv. ill. en coul., ill. en noir et blanc _c 21 cm. |
||
942 |
_c01 _t0711 _u7.2.0 |
||
994 | _a07110263 | ||
500 | _aBibliogr. p. 283-322 | ||
520 | _aLes grandes villes sont responsables des crises majeures de notre temps. Elles imposent des rapports consuméristes et productivistes au monde sans offrir en retour une écologie à la hauteur de la dévastation orchestrée par l'idéologie urbaine. L'équivalent d'une ville comme New York sort de terre tous les mois dans le monde. Les cent premières villes de France ont trois jours d'autonomie alimentaire. Les métropoles deviennent des fournaises. Et le sentiment de leur invivabilité prévaut chaque jour davantage. Pour enrayer ce mouvement mortifère, il ne s'agit pas seulement de changer de civilisation, mais de changer ce qu'est la civilisation, de développer la recherche d'autonomie comme mode de vie, dans ce qu'elle recrée de proximité et de solidarités, en faisant le choix d'une autre abondance, celle de la vie. Le monde d'après est là. Paysanneries revivifiant les ruralités par une agriculture non prédatrice, redéploiement de l'artisanat, multiplication des lieux d'expérimentation, redécouverte de savoirs aujourd'hui discrédités, réappropriation de l'ingéniosité libératrice des individus et des collectifs : tel est aujourd'hui le fondement révolutionnaire d'un nouveau pacte avec le vivant (4e de couverture) | ||
653 | _aPollution urbaine | ||
653 | _aUrbanisation | ||
653 | _a Productivisme | ||
653 | _aSociété de consommation | ||
653 | _aRessources non-renouvelables | ||
653 | _aÉconomie circulaire | ||
653 | _aÉconomie sociale et solidaire | ||
653 | _a Agriculture paysanne | ||
653 | _aArtisanat |