000 | 01476nam a22002297a 4500 | ||
---|---|---|---|
999 |
_c35679 _d35679 |
||
020 | _a978-2-492607-06-6 | ||
040 | _aBC-EPAU | ||
041 | _afre | ||
100 | _aBurgin, Victor | ||
245 | _aLe temps de la ruine | ||
260 |
_aParis _bInstitut national d'histoire de l'art _c2023 |
||
300 |
_a69 pages _b illustrations en noir et en couleurs, 1 plan _c17 cm. |
||
942 |
_c01 _t0846 _u8.9.7 |
||
994 | _a08460428 | ||
500 | _a Notes bibliographiques | ||
520 | _aAu milieu de luxuriants jardins surplombant le Bosphore, sur la rive européenne d’Istanbul, l’architecte Sedad Hakkı Eldem avait construit en 1948 un café alliant architecture ottomane et modernisme occidental. Accessible à tous, sans distinction de classe ni de genre, ce lieu symbolisait alors l’idéal démocratique de la jeune république turque. Qu’en reste-t-il de nos jours ? Démantelé et déplacé, le café, comme les jardins qui l’entouraient, a laissé place à un complexe hôtelier de luxe. La vue imprenable dont les habitants pouvaient autrefois jouir librement est désormais monnayée. Par son récit, Victor Burgin redonne vie à cet édifice. En mettant au jour des évolutions urbaines que l’on retrouve dans les métropoles du monde entier, il propose une définition de la ruine propre à l’ère capitaliste. | ||
653 | _aArchitecture -- Turquie | ||
653 | _aRuines | ||
653 | _aRuines (esthétique) | ||
653 | _aArt -- Histoire | ||
653 | _aMémoire collective |