000 | 01532nam a22001697a 4500 | ||
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999 |
_c34997 _d34997 |
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022 | _a 003-8695 | ||
040 | _aBC-EPAU | ||
041 | _afre | ||
100 | _aBorne, Emmanuelle | ||
245 | _aParasites | ||
260 |
_aParis _bArchipress _c2020 |
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300 | _a126p. | ||
942 |
_c02 _t1601 |
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994 | _a16010368 | ||
520 |
_aAyant convié un architecte en 2019 (Marc Barani, n° 432, septembre 2019), L’Architecture d’Aujourd’hui a choisi, pour son numéro de rentrée en 2020, de s’adresser à un artiste, Tadashi Kawamata. Dedans comme dehors, dedans et dehors, au sol, au ciel… Son champ d’invention est l’espace tout entier. S’il s’est accordé avec AA pour traiter le thème du « parasite », et le décliner à l’envi au fil des pages, c’est d’abord parce qu’il conçoit ses œuvres comme des organismes dépendants d’autres organismes, de la ville principalement. _bCe numéro, composé à quatre mains avec l’artiste, interrogera les différentes formes de « parasite » que recense l’architecture, de la maison souterraine des Espagnols d’Ensamble, des structures « prothèses » de Recetas Urbanas, en passant par la « cellule parasite » de Jean-Louis Chanéac. Pour clore le numéro, le cahier Regards présente le travail de Charles Simonds, artiste à l’œuvre protéiforme, Lang/Baumann, spécialistes de la « greffe urbaine » et les réflexions d’un parasitologue — pour mieux explorer la thématique tentaculaire de ce numéro de rentrée. |
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653 | _aTadashi Kawamata,greffe urbaine |