000 01347nam a2200169Ia 4500
008 180516s9999 xx 000 0 und d
020 _a978-2-330-01845-0
041 1 0 _afre
_b
100 _aCareri, Francesco
245 1 0 _aWalkscrapes
_bla marche comme pratique esthétique
260 1 0 _a
_bJaqueline Chambon
_c2013
300 1 0 _a215 p.
_bill., fac-sim., couv. ill
_c12 x 19 cm
_e
490 _aRayon art
520 1 0 _aDans cet ouvrage, l'architecture est d'abord traversée des espaces : ce que Careri appelle parcours. Ainsi le menhir, point de repère dans l'espace, à la croisée des chemins. La marche est esthétique, comme la conçoit André Breton pour la place Dauphine. Elle révèle des recoins oubliés, des beautés cachées, la poésie des lieux délaissés. La marche est politique. En découvrant ces espaces qui sont à la marge et cependant peuplés, elle montre que les frontières spatiales sont aussi des frontières sociales. Careri s'évade de la ville-événement pour errer dans ce qu'il appelle la Zonzo (la zone, l'espace exclu, à l'abandon, à la marge, inexploré et pourtant vivant). En se laissant porter par la marche, on franchit des frontières invisibles, on recompose une ville nouvelle.
_b
653 _aSémiotique et urbanisme, Marche -- Aspect social , Marche -- Philosophie
942 1 0 _c01
_t0717
_u7.3.3
_v30434
994 _a07170150
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_d27391