LE POST MODERNE L'architecture dans la société post-industrielle
Par: PORTOGHESI, Paolo.
Contributor(s): ROSSINI, Héléne.
Type Document : Ouvrage Editeur: Paris Electa Moniteur 1982Description Matérielle: 153 p. Ill. en noir et en coul., plans, Couv. ill. en coul. 30 cm.ISBN: 2-86653-008-X .Mots Clés: Architecture, Architecture Postmoderne, Architecture industrielleRésumé: Ce livre se veut une chronique engagée et, dans une large mesure, optimiste de ce qui s'est passé au cours des dernières années en architecture, à un niveau international,le langage poste moderne -que le terme, forgé pour le désigner, plaise ou non-s'est répandu dans le monde entier et a rendu à la ville contemporaine une dimension imaginaire et humaniste, en mettant en circulation des éléments et des méthode de la grande tradition historique occidentale qui semblaient définitivement écartes et , de toutes façons, incompatibles avec les conquêtes technologiques force et un nouveau degré de liberté ont pénétré le milieu des architectes ou', pendant des décennies, un marasme de la création et une extraordinaire paresse ont rendu inopérant l'héritage du mouvement moderne. Le centre du livre est constitué par l'image de la strada novissima, la première rue au monde à s’être déplace de Venise à Paris et avoir traverse l’océan pour aboutir à son Francisco, dans l'ouest américain mythique, là ou la nouvelle civilisation post-industrielle a développé le plus rapidement ses nouveaux modèles. La strada novissima est le symbole d’une réinterprétation du poste-moderne qui rapproche l’Europe et l’Amérique et recrée, autour du thème de la ville, l’unité profonde d’un débat qui a bouleversé les fragiles équilibres de la culture architectonique. Face à cette petite révolution qui n’à pas négligé mais cultivé l’héritage du mouvement moderne, en préservant le noyau profond de rationalité, l’étiquette poste- moderne, que certains ont critiquée et refusée, apparait déjà comme un instrument dépassé, même s’il est encore utile sur le plan didactique. Le vrai problème des nouvelles générations n’est pas, en effet, de trouver une étiquette pour classifier et hypothéquer le présent et l’avenir mais, plutôt, de se tourne vers une « Architecture retrouvée » Sans adjectifs ni formules, capable d’affronter les grands thèmes de l société post-industrielle. Sommaire: P.7. Qu'est que le post- moderne P.10. Une nouvelle Renaissance P.14. La fin des interdits P. 31. Espérances et peures P. 59. Architecture et lieu P. 61. Le théâtre du monde P. 68. La crise de l ville P. 72. La ville poste- industrielle entre agitation et torpeur P.78. Grand Avenue à Los Angles P. 80. Queensgate à cincinnati P.82. Philip Johnson P. 86. Cesar Pelli P. 88. Peter Eisenman P. 90. Michael Graves P.93. Thomas beeby P. 95. Stanley Tigerman P. 98. Diana Agrest et Mario Gandelsonas P.100. Eugen Kupper P.102. Helmut jahn P.106. Emilio Ambasr P.108. Frasca- Zimmer-consul P.110. Houses for sale P.112. Ridolfi à Terni P.114. Massimo Scolari P.116. Le G.R.A.U P.118. Roberto Gandelsonas P. 120. Guido Canella P. 122. Sandro Anselmi P. 124. Franco Purini P. 127. Roberto Pirzio Biroli P.129. Aurelio Cortesi P.131. Architecture anonyme P.133. Sandro Mendini P. 135. Fernando Montes P.137. Ricardo Porro P.140. Ricardo Bofill P. 144. Christian de Portzamparc P.146. Maurice Culot P.148. Livio Vacchini P.150. Hans Robert Hiegel P.152. Monta MozunaType de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue | Code à barres |
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Ce livre se veut une chronique engagée et, dans une large mesure, optimiste de ce qui s'est passé au cours des dernières années en architecture, à un niveau international,le langage poste moderne -que le terme, forgé pour le désigner, plaise ou non-s'est répandu dans le monde entier et a rendu à la ville contemporaine une dimension imaginaire et humaniste, en mettant en circulation des éléments et des méthode de la grande tradition historique occidentale qui semblaient définitivement écartes et , de toutes façons, incompatibles avec les conquêtes technologiques force et un nouveau degré de liberté ont pénétré le milieu des architectes ou', pendant des décennies, un marasme de la création et une extraordinaire paresse ont rendu inopérant l'héritage du mouvement moderne.
Le centre du livre est constitué par l'image de la strada novissima, la première rue au monde à s’être déplace de Venise à Paris et avoir traverse l’océan pour aboutir à son Francisco, dans l'ouest américain mythique, là ou la nouvelle civilisation post-industrielle a développé le plus rapidement ses nouveaux modèles. La strada novissima est le symbole d’une réinterprétation du poste-moderne qui rapproche l’Europe et l’Amérique et recrée, autour du thème de la ville, l’unité profonde d’un débat qui a bouleversé les fragiles équilibres de la culture architectonique. Face à cette petite révolution qui n’à pas négligé mais cultivé l’héritage du mouvement moderne, en préservant le noyau profond de rationalité, l’étiquette poste- moderne, que certains ont critiquée et refusée, apparait déjà comme un instrument dépassé, même s’il est encore utile sur le plan didactique. Le vrai problème des nouvelles générations n’est pas, en effet, de trouver une étiquette pour classifier et hypothéquer le présent et l’avenir mais, plutôt, de se tourne vers une « Architecture retrouvée » Sans adjectifs ni formules, capable d’affronter les grands thèmes de l société post-industrielle.
P.7. Qu'est que le post- moderne
P.10. Une nouvelle Renaissance
P.14. La fin des interdits
P. 31. Espérances et peures
P. 59. Architecture et lieu
P. 61. Le théâtre du monde
P. 68. La crise de l ville
P. 72. La ville poste- industrielle
entre agitation et torpeur
P.78. Grand Avenue à Los Angles
P. 80. Queensgate à cincinnati
P.82. Philip Johnson
P. 86. Cesar Pelli
P. 88. Peter Eisenman
P. 90. Michael Graves
P.93. Thomas beeby
P. 95. Stanley Tigerman
P. 98. Diana Agrest et Mario Gandelsonas
P.100. Eugen Kupper
P.102. Helmut jahn
P.106. Emilio Ambasr
P.108. Frasca- Zimmer-consul
P.110. Houses for sale
P.112. Ridolfi à Terni
P.114. Massimo Scolari
P.116. Le G.R.A.U
P.118. Roberto Gandelsonas
P. 120. Guido Canella
P. 122. Sandro Anselmi
P. 124. Franco Purini
P. 127. Roberto Pirzio Biroli
P.129. Aurelio Cortesi
P.131. Architecture anonyme
P.133. Sandro Mendini
P. 135. Fernando Montes
P.137. Ricardo Porro
P.140. Ricardo Bofill
P. 144. Christian de Portzamparc
P.146. Maurice Culot
P.148. Livio Vacchini
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P.152. Monta Mozuna