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Par: Karimi,Ali.
Type Document : Revue / Périodique Editeur: London Buxton Press 2022ISSN: 0003-861X.Résumé: The space we live in is one of flows, of transit. But we are so used to living in this hypermodern world that we do not see the flows that make up our lives,’ writes Justinien Tribillon, ‘when a dictator goes to war, or an ecological disaster breaks out, or a ship gets stuck in a canal, we are reminded that transit implies economical, ethical, and political choices.’ In this interconnected world that is built on networks of people, capital and resources, the modern project has been to conceal the ties that knot the world together. A flat map of the world can be seemingly folded in half, delivering food to tables, goods to people, and currency to bank accounts. In the May issue of the AR, we reach out into these matrices of information, making visible this ghostly lattice through which we are connected.Sommaire: L'espace dans lequel nous vivons est celui des flux, du transit. Mais nous sommes tellement habitués à vivre dans ce monde hypermoderne que nous ne voyons pas les flux qui composent nos vies", écrit Justinien Tribillon, "quand un dictateur part en guerre, ou qu'une catastrophe écologique éclate, ou qu'un navire s'enlise un canal, on nous rappelle que le transit implique des choix économiques, éthiques et politiques. Dans ce monde interconnecté qui se construit sur des réseaux de personnes, de capitaux et de ressources, le projet moderne a été de dissimuler les liens qui unissent le monde. Une carte du monde plate peut être apparemment pliée en deux, livrant de la nourriture aux tables, des biens aux gens et de la monnaie aux comptes bancaires. Dans le numéro de mai de l'AR, nous pénétrons dans ces matrices d'informations, rendant visible ce réseau fantomatique à travers lequel nous sommes connectés.Type de document | Site actuel | Cote | Info vol. | Statut | Date de retour prévue | Code à barres |
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Revue / Périodique |
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The space we live in is one of flows, of transit. But we are so used to living in this hypermodern world that we do not see the flows that make up our lives,’ writes Justinien Tribillon, ‘when a dictator goes to war, or an ecological disaster breaks out, or a ship gets stuck in a canal, we are reminded that transit implies economical, ethical, and political choices.’ In this interconnected world that is built on networks of people, capital and resources, the modern project has been to conceal the ties that knot the world together. A flat map of the world can be seemingly folded in half, delivering food to tables, goods to people, and currency to bank accounts. In the May issue of the AR, we reach out into these matrices of information, making visible this ghostly lattice through which we are connected. L'espace dans lequel nous vivons est celui des flux, du transit. Mais nous sommes tellement habitués à vivre dans ce monde hypermoderne que nous ne voyons pas les flux qui composent nos vies", écrit Justinien Tribillon, "quand un dictateur part en guerre, ou qu'une catastrophe écologique éclate, ou qu'un navire s'enlise un canal, on nous rappelle que le transit implique des choix économiques, éthiques et politiques. Dans ce monde interconnecté qui se construit sur des réseaux de personnes, de capitaux et de ressources, le projet moderne a été de dissimuler les liens qui unissent le monde. Une carte du monde plate peut être apparemment pliée en deux, livrant de la nourriture aux tables, des biens aux gens et de la monnaie aux comptes bancaires. Dans le numéro de mai de l'AR, nous pénétrons dans ces matrices d'informations, rendant visible ce réseau fantomatique à travers lequel nous sommes connectés.