Baudelaire Les fleurs du mal
Par: DUPONT,Jacques
.
Type Document : Ouvrage
Editeur: GF Flammarion 2012Description Matérielle: 371 p. Couv.en coul. 13 x 17 cm.ISBN: 9782081279032.Résumé: Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal, - dit tout, est revêtu d'une beauté sinistre et froide il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. "Le livre met les gens en fureur", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. La première édition des Fleurs du Mal venait d'être publiée le procès qui s'ensuivit allait donner raison au poète : six pièces furent condamnées au motif qu'elles "conduisaient nécessairement à l'excitation des sens". En 1861 parut la seconde version des Fleurs du Mal, dont Baudelaire, peu avant sa mort, affirmait : "Faut-il vous dire que dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine ? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie et je mentirai comme un arracheur de dents" (lettre à Ancelle du 18 février 1866). Sommaire:
Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue | Code à barres |
---|---|---|---|---|---|---|
![]() |
Bibliothèque Centrale
|
13050323001 (Parcourir l'étagère) | Disponible | Cote: 0.4.1 | 13050323001 |
Survol Bibliothèque Centrale Étagères Fermer l'étagère
Ce livre, dont le titre : Fleurs du Mal, - dit tout, est revêtu d'une beauté sinistre et froide il a été fait avec fureur et patience. D'ailleurs, la preuve de sa valeur positive est dans tout le mal qu'on en dit. "Le livre met les gens en fureur", écrivait Baudelaire à sa mère, le 9 juillet 1857. La première édition des Fleurs du Mal venait d'être publiée le procès qui s'ensuivit allait donner raison au poète : six pièces furent condamnées au motif qu'elles "conduisaient nécessairement à l'excitation des sens". En 1861 parut la seconde version des Fleurs du Mal, dont Baudelaire, peu avant sa mort, affirmait : "Faut-il vous dire que dans ce livre atroce, j'ai mis tout mon coeur, toute ma tendresse, toute ma religion (travestie), toute ma haine ? Il est vrai que j'écrirai le contraire, que je jurerai mes grands dieux que c'est un livre d'art pur, de singerie, de jonglerie et je mentirai comme un arracheur de dents" (lettre à Ancelle du 18 février 1866).