Walkscrapes la marche comme pratique esthétique
Par: Careri, Francesco.
Type Document : Ouvrage Collection: Rayon art.Editeur: Jaqueline Chambon 2013Description Matérielle: 215 p. ill., fac-sim., couv. ill 12 x 19 cm.ISBN: 978-2-330-01845-0.Mots Clés: Sémiotique et urbanisme, Marche -- Aspect social , Marche -- PhilosophieRésumé: Dans cet ouvrage, l'architecture est d'abord traversée des espaces : ce que Careri appelle parcours. Ainsi le menhir, point de repère dans l'espace, à la croisée des chemins. La marche est esthétique, comme la conçoit André Breton pour la place Dauphine. Elle révèle des recoins oubliés, des beautés cachées, la poésie des lieux délaissés. La marche est politique. En découvrant ces espaces qui sont à la marge et cependant peuplés, elle montre que les frontières spatiales sont aussi des frontières sociales. Careri s'évade de la ville-événement pour errer dans ce qu'il appelle la Zonzo (la zone, l'espace exclu, à l'abandon, à la marge, inexploré et pourtant vivant). En se laissant porter par la marche, on franchit des frontières invisibles, on recompose une ville nouvelle.Sommaire:Type de document | Site actuel | Cote | Statut | Notes | Date de retour prévue | Code à barres |
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Ouvrage |
Bibliothèque Centrale
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07170150001 (Parcourir l'étagère) | Consultation sur place | Cote: 7.3.3 | 07170150001 | |
Ouvrage |
Bibliothèque Centrale
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07170150002 (Parcourir l'étagère) | Disponible | Cote: 7.3.3 | 07170150002 | |
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Bibliothèque Centrale
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07170150003 (Parcourir l'étagère) | Disponible | Cote: 7.3.3 | 07170150003 |
Dans cet ouvrage, l'architecture est d'abord traversée des espaces : ce que Careri appelle parcours. Ainsi le menhir, point de repère dans l'espace, à la croisée des chemins. La marche est esthétique, comme la conçoit André Breton pour la place Dauphine. Elle révèle des recoins oubliés, des beautés cachées, la poésie des lieux délaissés. La marche est politique. En découvrant ces espaces qui sont à la marge et cependant peuplés, elle montre que les frontières spatiales sont aussi des frontières sociales. Careri s'évade de la ville-événement pour errer dans ce qu'il appelle la Zonzo (la zone, l'espace exclu, à l'abandon, à la marge, inexploré et pourtant vivant). En se laissant porter par la marche, on franchit des frontières invisibles, on recompose une ville nouvelle.